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il y a 6 ans
MERCI DE LIRE AU MOINS L’EPILOGE avant de vous lancer dans des critiques acerbes.
En France, 18000 personnes de moins de 65 ans seraient atteintes de la maladie d'Alzheimer dont 5000 de moins de 60 ans. Ces personnes sont considérées comme étant des malades jeunes. Les premiers cas de maladie d'Alzheimer jeunes auraient été détectés dès l'âge de 30 ans.
Max, un chercheur un peu fou, développe une nouvelle thérapie médicamenteuse en vue d’aider les patients atteints de la maladie Alzheimer. Celle-ci n’est pas encore testée sur les humains parce qu’il se heurte à la guerre commerciale de l’industrie pharmaceutique.
Etape centrale du processus de recherche et développement d'un médicament, les essais cliniques (tests sur les humains) sont souvent menés parallèlement sur des sites disséminés dans plusieurs pays. ne fois une substance active découverte, synthétisée et étudiée en laboratoire, il faut, en effet, en tester l'efficacité et l'innocuité sur les humains avant qu'elle puisse être commercialisée. Les firmes le font au moyen de trois vagues d'essais servant de base à l'autorisation de mise sur le marché du médicament. Une quatrième phase posthomologation est parfois entreprise, mais cette dernière étape est critiquée car, peu super visée, elle sert davantage des buts commerciaux que scientifiques.
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Alain pleure toutes les larmes de son corps lorsqu’il apprend la nouvelle. Sa femme est atteinte de la maladie d’Alzheimer.
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Comment est-ce possible, elle n’a que 35 ans ?
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C’est assez rare sur des patients aussi jeunes ! Lui répond le médecin. Il existe aujourd’hui des thérapies qui freinent les effets de la maladie qui hélas ne se soignent pas. Il faut vous préparer à des étapes difficiles mais vous avez encore de longues et belles années devant vous. Je vais vous orienter vers un gérontologue spécialisé, il saura la prendre en charge et vous conseiller.
Lorsqu’ils reviennent à la maison, Alice est autant désespérée que son mari. Elle s’excuse d’être malade et lui propose de la quitter pour faire sa vie sans elle, sans un fardeau qui lui pourrira la vie un peu plus chaque jour. Pour Alain qui l’aime plus que tout au monde, la quitter est inconcevable, il fera face, il assumera, il l’aidera mais jamais il ne la quittera.
Cet homme gravement affecté moralement se lance, comme beaucoup, dans des recherches sur internet. Il veut tout savoir et surtout, cherche, s’il n’y a pas des médicaments miracles vendus à l’étranger. Après une nuit blanche sur écran, les yeux rouges et bien souvent mouillés, il trouve sur un forum dédié à cette maladie un homme prénommé Max, un chercheur qui donne des réponses pertinentes aux questions des membres. Max se présente comme chercheur, il indique travailler sur une thérapie visant à aider les patients atteints de la maladie Alzheimer.
Son langage est bien celui d’un scientifique, il faut parfois un dictionnaire pour analyser ses réponses. Comme il inspire confiance, Alain lui donne son adresse email et même son numéro de téléphone, il serait près à déplacer la dune du Pila à la petite cuillère pour aider sa femme, alors donner son numéro de téléphone sur le net, est un détail pour lui.
Sentant les proies faciles, le désespoir poussant à des folies, Max entreprend une approche personnalisée avec ce couple. Il leur propose d’en parler de vive voix un soir par téléphone, chose que les âmes malades acceptent de bon coeur.
Le jeudi soir vers 19 heures comme convenu, Alain et Alice sont assis devant le téléphone qu’ils regardent comme le Messie. Lorsque Max les appelle, ils sont très à l’écoute, le remercient mille fois des conseils, des informations qu’il leur donne. Il confirme ce que leur a indiqué le médecin tout en entrouvrant une porte d’espoir de guérison.
- Je travaille depuis plus d’un an sur une thérapie adaptée aux patients atteints de la maladie d’Alzheimer. Voilà pourquoi je suis très informé sur cette maladie. Malheureusement, les essais thérapeutiques ne sont pas encore lancés, l’administration Française est telle, que mon médicament ne sera en vente que dans une dizaine d’année s’il l’est un jour. En plus, avec la guerre des laboratoire, cela va peut-être prendre cinq ans de plus. Leur indique Max tuant net leur espoir avant d’ajouter, que c’est bien dommage car son médicament est sans aucun risque majeur.
Alain est fou de rage et désespéré, ses espoirs s’envolent.
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Si j’avais un ou une patiente volontaire, je pourrai réaliser le test clinique, mon souci est que ce ne sont que des personnes âgées et que je risque la prison pour « a b u s de faiblesse sur personnes âgées » même si la famille m’accorde le droit de donner mon médicament à leurs parents.
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Et bien nous on est jeune, on vous attaquera pas ! Répond Alain la gorges serrée.
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Ecoutez, il faut que l’on se voit pour en parler et que j’ai des informations médicales sur votre femme avant toute chose. Puis-je venir vous voir ?
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Bien sûr, quand vous voulez, la maison vous est ouverte !
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Samedi matin vous irait ?
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Oui parfait, à l’heure qui vous convient.
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Je viendrai vers 10 heures. Préparez-moi une copie de son dossier médical, j’en aurai besoin.
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Comme convenu, Max se rend au domicile d’Alain et d’Alice, il étudie la copie des documents qui lui sont remis. Il pose de nombreuses questions sur les médicaments pris, les antécédents et demande s’il y a eu un précédent dans leur famille.
- Avant d’aller plus loin, il faut que nous parlions d’argent, des effets secondaires de mon traitement puis des accords juridiques que nous devons signer.
Alain est sur le qui vive en entendant le mot argent.
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Je ne suis qu’un chercheur, je ne pourrai pas vous payer, est-ce un problème pour vous ?
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Pas du tout ! Répond aussitôt Alain rassuré que cela ne soit pas une arnaque.
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Les effets secondaires risquent d’être gênants pendant quelques temps. Alice risque d’avoir de petits problèmes d’incontinence, des maux de tête et quelques effets psychologiques surprenants pour vous.
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De quel ordre ? Demande Alain.
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Elle risque de régresser un peu mentalement. Cela ne sera que provisoire mais c’est un effet indésirable que l’on ne peut contrôler. Cet effet indésirable ne lui permettra pas d’aller travailler. Est-ce un problème pour vous ?
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Ben on fera avec, pas vrai ma chérie ? Le principal est qu’on te soigne et qu’on te débarrasse de cette putain de maladie.
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Bon, si vous êtes d’accord, vous n’avez plus qu’à signer ce document. Il reprend sensiblement notre conversation et précise bien sûr que mes prestations sont gratuites et que vous n’aurez rien à me payer. Attention toutefois à la clause de confidentialité qui est très importante. Vous ne devez absolument parler à personne de ce traitement et me donnerez en échange de son éventuelle guérison les résultats de tests et le droit de vous citer dans mes publications médicales.
Alain et Alice sont évidement d’accords avec tout ce que demande leur sauveur. Ils signent les documents ainsi que la décharge sans sourcilier. Max leur donne un flacon avec des médicaments à prendre trois fois par jour à l’heure des repas. Il leur demande de noter sur un cahier tous les effets ressentis de jour comme de nuit et de ne rien lui cacher.
A peine est-il sorti, que les deux tourtereaux s’enlacent puis se serrent fortement l’un contre l’autre, leurs yeux coulent de bonheur.
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Les effets indésirables ne tardent pas à pointer leur nez. Le premier est très gênant pour Alice qui commence à mouiller le lit toutes les nuits. Alain la soutient psychologiquement, ce n’est pas grave, ce n’est que passager. Une recherche sur le net donne la solution à Alain qui achètent des protections en pharmacie. Alice prend cela très mal, même si son adorable mari n’arrête pas de lui dire qu’il l’aime, que ce n’est pas grave, que cela ne durera pas. Lorsqu’il découvre en revenant de travailler que parfois elle mouille sa culotte dans la journée, il en mouille les yeux. Encore une fois, il fait des recherches sur Internet et tombe sur Abkingdom.
Au départ, il prend ces gens pour des tarés et poursuit son surf d’un regard amusé ! Au fil des lectures, il découvre que certains membres sont réellement incontinents et qu’ils ont eu l’idée puis le courage de s’en amuser en transformant ce souci de santé en fétichisme. Comme le moral d’Alice est au plus bas, il décide d’essayer de faire comme eux, de s’amuser de ce souci, pour eux, temporaire.
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Ma puce, tu portes des couches la nuit par obligation, et comme je t’aime à la folie, j’ai envie qu’on s’en amuse.
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Je ne vois pas trop ce qu’il y a d’amusant à ça ! Crie presque Alice en guise de réponse. Je n’ai pas envie de ta pitié.
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Soit on se lamente, soit on s’amuse. Soit il y a la couche entre nous, soit il y a la couche avec nous. Répond Alain en puisant dans sa réserve d’énergie le courage de garder le sourire et ne pas fondre en larme. Vient voir, il y a un site où il y a des gens comme nous. Ils ont transformé ce problème en jeux érotiques. Ils sont géniaux. Brode Alain pour essayer de faire passer ses idées visant à apaiser la peine et la gêne de sa Perle d’Amour.
Après l’avoir guidée vers l’ordinateur pour lui faire voir Abkingdom, il prend soin de cliquer sur les rubriques « Régression et Ageplayers » puis sur « Couches, Produits et Boutiques » où il lui fait voir qu’il existe des couches très jolies. Alice rejette tout en bloc mais Alain, qui est un homme fort et entier, ne baisse pas la garde. Il commande sur Internet un body « I love Daddy » puis des couches avec des motifs rigolos.
UNE TRES MAUVAISE PASSE
Lorsqu’en revenant de travailler, il découvre sa femme en larme dans le parking, son coeur s’emballe. Sortie pour aller faire des courses Alice, ne se souvenant plus du code de la porte n’a pas pu rentrer dans l’immeuble. Son pant arrivé à saturation commence à couler sur son pantalon. Encore une fois, il fait face à la situation et commence à lui mentir.
- Ils ont changé le code de la porte, ce n’est pas toi qui l’a oublié ma chérie. Je vais te le noter pour que tu t’en souviennes.
Arrivés chez eux, Alice honteuse fonce à la salle de bain pour prendre une douche et se changer. Alain fait comme si de rien n’était même s’il prend conscience que la maladie va commencer à engendrer de sérieux soucis. Il rédige un petit mot qu’il glisse dans le sac de sa femme au milieu des papier de la pochette contenant la carte vitale, la carte d’identité et autre documents.
« Ma femme a la maladie Alzheimer, en cas de souci, le code de la porte de l’immeuble est le 3612A, mon numéro de téléphone est le ..... »
Le soir même, alors qu’il surfait tranquillement, c’est une odeur de brûlé qui attire son attention. Il se précipite à la cuisine et découvre qu’elle a oublié le plat sur le gaz et que le contenu de la casserole se carbonise. Il prend aussitôt la décision de couper le gaz quand il partira travailler.
UNE SEMAINE PLUS TARD
Le moral d’Alice semble être remonté, les décontractants du médecin semble apaiser ses angoisses. Il profite de la situation positive pour lui proposer de jouer la petite fille comme les gens d’ABK, un site qu’il étudie régulièrement en plus des forums sur Alzheimer.
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Ma puce, ce soir j’ai envie de jouer le Daddy, qu’on s’amuse comme avant. Pour faire la fête, je nous ai pris du champagne en faisant les courses.
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Jouer à quoi ?
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Laisse-toi faire, on va s’amuser et puis on fera l’amour parce que j’ai très envie de toi.
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Si ça te fait plaisir......
Prenant son courage à deux mains, il la conduit à la salle de bain pour la doucher avec des petits câlins d’amour tout en la savonnant. Couverte de bisous, submergée par la tendresse et les mots d’Amour, Alice se décontracte et commence à s’amuser. Une fois séchée, il la porte sur leur lit où il la dépose nue sur le lit. Ses lèvres entreprennent de suivre des chemins imaginaires sur le corps de sa femme en s’attardant un peu sur ses tétons si sensibles puis entre le creux de ses cuisses.
Alain s’interrompt un instant pour aller prendre des choses dans son gros sac à dos en lui demandant de fermer les yeux pour une surprise. Il sort une jolie couche à motif qu’il lui pose tant bien que mal, n’ayant pas l’habitude d’en mettre. A la suite de quoi, il la fait asseoir pour lui poser le body « I Love Daddy » puis de se lever pour le fermer.
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Je peux ouvrir les yeux ?
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Non pas encore ! Lui répond Alain.
Il la prend dans ses bras pour la porter au canapé du salon où il l’installe sur ses genoux comme un bébé.
- Tu peux ouvrir les yeux !
Alice découvre les inscriptions sur le body et se met à rire. Ouf pense Alain qui avait peur de sa réaction.
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Franchement, je ressemble à rien avec ça, mais c’est rigolo. Tu es fou !
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Oui je suis fou, fou d’amour pour toi ma chérie. Attend, je vais ouvrir le body pour que tu vois la couche, ce n’est pas une des tiennes, c’est une nouvelle beaucoup plus jolie.
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Mais c’est rigolo ! Tu as acheté celles comme les filles qui jouent au bébé sur ton site.
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Elles sont plus jolies que les blanches de la pharmacie !
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C’est sûr, mais bon ça reste une couche quand même ! Répond Alice avec une certaine tristesse dans la voix.
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J’ai envie qu’on s’amuse avec ça, cela s’appelle l’ABDL.
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Je ne trouve pas ce jeu très amusant.
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Avec le temps, on pourra délirer ma puce !
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Et tu dirais quoi toi si tu étais obligé de mettre des couches ?
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Ben j’en mettrai tout simplement, il n’y a pas à avoir honte d’un petit souci de santé !
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Bébé Alice veut que tu en mettes une !
Alain ne s’attendait absolument pas à ça. Dépité il reste sans voix.
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Heu, non, c’est juste pour toi ma chérie. Répond Alain soudainement perturbé.
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Tu vois, ce n’est amusant que pour la malade, c’est ça ? Répond Alice en fondant en larmes.
N’arrivant pas à la consoler, il se dit que personne ne le verra et que si cela peut aider sa femme à accepter son incontinence, il peut toujours en mettre une. Finalement, ce n’est qu’une grosse culotte.
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Je veux bien mais c’est toi qui me la met !
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Tu fais ça par pitié ?
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Non, pour te faire plaisir et puis pour essayer aussi. Répond Alain très gêné d’être encore obligé de mentir car la couche ne le branche pas du tout.
Cette fois, c’est Alice qui prend les initiatives. Complètement perdu, Alain se laisse faire par sa p’tite puce d’amour qui le prend par la main pour le conduire dans la chambre.
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Allez déshabille-toi, mamy va s’occuper de toi ! Lui indique Alice très joueuse et qui a retrouvé le sourire.
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Mamy ?
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Ben oui, Daddy, cela signifie papa, alors ce soir je suis ta mamy. Répète le mot nouveau : mamy. Demande Alice en plein délire.
Voir sa femme retrouver sa joie de vivre le comble de bonheur. Si elle lui demandait de boire de l’eau salée au biberon il le ferait rien que pour avoir le plaisir de voir ses yeux briller. C’est donc tous les deux en couche qu’ils retournent au salon. Alain est très gêné mais ne dit rien. Il se rend à la cuisine pour aller chercher la bouteille de champagne.
Que la fête commence ! Crie Alain en faisant sauter le bouchon.
Les tourtereaux trinquent et boivent plus que de raison, la pizza Toutpargel n’éponge pas l’excès de champagne, ils sont un peu « pompettes » et délirent comme des fous. Complètement dans son jeu de rôle, Alice quitte le canapé et marche à quatre pattes puis lui jette les coussins. Les rires et la bonne humeur sont de retour pense Alain trop heureux de retrouver sa femme aussi délirante qu’avant. Au bout d’un moment, Alain se lève en indiquant qu’il doit aller faire pipi.
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Ah non ! Les bébés ça va pas sur le pot des grands ! Lui indique Alice en attrapant le bas de son pantalon pour l’empêcher d’aller aux toilettes.
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Non, s’il te plait, il faut vraiment que j’aille aux toilettes ! Répond Alain soudain moins joyeux.
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Si tu veux que je joue, tu joues aussi ou alors tu m’as mentie et c’est de la pitié !
Un gros blanc s’installe, le silence devient rapidement très pesant.
- D’accord ! Répond Alain soudain très mal en voyant le visage de sa femme se décomposer.
Alice bondit presque contre lui et le pousse dans le canapé. Son naturel joueur reprend le dessus, elle grimpe sur ses genoux comme une sauvage, s’assoit sur ses jambes en se plaquant contre son ventre et se met à jouer à « dada » en chantant :
Ah dada sur mon daddy,
Qui a envie de faire pipi
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J’y arrive pas ma puce ! Crie Alain.
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Bébé va faire des chatouilles à pipi ! Lui répond Alice en plein délire.
Pris dans son jeu et avec une furie sur les genoux, Alain parvient à se lâcher et à uriner dans la couche en priant pour le canapé.
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Arrête, arrête de sauter ça vient !
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Moi aussi na na na ! Lui dit Alice en l’embrassant.
Si Alain est très gêné parce que cela touche la propreté acquise dans la jeunesse, il découvre que finalement ce n’est pas si désagréable que ça, qu’il ne baigne pas dans l’urine et que cela fait chaud. Une discussion câline démarre sur cette sensation. Entrecoupée de bisous et de caresses coquines, elle les conduit à la chambre. Enlacés sur le lit, les bisous deviennent plus insistants, moins joueurs et plus fusionnels. L’envie de fusion prend forme, Alain écarte sa couche pour faire émerger son sexe, il écarte celle de sa femme et la prend tout en douceur.
Cela faisait plus d’un mois qu’ils n’avaient pas fait l’amour, cette putain de maladie les ayant traumatisés, l’envie de sexe avait disparu de leur quotidien. Les effusions terminées, le besoin de jouir apaisé, ils restent lovés l’un contre l’autre en se serrant très fort.
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Je crois que j’ai un peu fait pipi quand on faisait l’amour. Murmure Alice.
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Je crois aussi mais grâce à la couche, j’avoue que ce n’était pas mal comme sensation ! Répond Alain un peu perturbé par cette expérience.
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On recommencera, s’il te plait ?
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Oui ma chérie, mais maintenant il faut dormir.
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Je n’ai pas sommeil et j’ai encore envie de toi. Indique Alice en plongeant la main dans la couche d’Alain.
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Je crois que mon zizi va avoir un peu de mal.
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C’est ce qu’on va voir ! Répond la belle très motivée en baissant la couche pour entreprendre une fellation.
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Arrête, c’est sale !
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Non, c’est juste un peu salé !
Avant sa maladie, Alice était assez gourmande des plaisirs de la vie, et là, présentement, ses envies sont loin d’être apaisées. Le gisant se ranime, elle enjambe son mari pour s’empaler après avoir écarté sa couche. La chevauchée est sauvage, animale tant il y a du retard dans son besoin de fusion et d’amour. Elle hurle presque ses jouissances et finit par « achever » son Daddy qui s’endort en couche quelques minutes plus tard.
C’est une érection nocturne qui réveille Alain dont le sexe orienté vers le bas de sa couche se rebelle. Il n’ose pas bouger de peur de réveiller sa puce qui le serre toujours dans ses bras. C’est dans cette position, totalement réveillé qu’il fait son deuxième pipi couche après avoir lutté longuement pour se retenir.
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Max est tenu au courrant de leurs évolutions et surtout de l’évolution de la maladie. Il s’interroge sur l’impact de ses molécules sur la libido et ne comprend pas leurs jeux de Daddy / bébé. Il attribue leurs jeux intimes sur la sexualité un peu débridé qu’ils avaient avant la maladie. Ce n’est que lorsqu’il vient les voir un mois plus tard qu’il découvre que ses molécules ont un effet certains sur la libido.
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Je vous jure qu’elle a des envies de sexe monstrueuses. Nous aimions bien jouer avant, mais là, j’ai du mal à suivre. Lui explique Alain qui a perdu ses quelques kilos superflus.
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Et sa maladie évolue comment ? Demande Max pour passer à un sujet moins gênant.
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Elle ne semble pas évoluer. Cela n’empire pas mais elle oublie toujours autant de choses.
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Comme quoi ?
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Elle me pose des questions, je lui réponds, et elle me repose les même questions plusieurs fois en oubliant mes réponses. Par contre, la mémoire lointaine est toujours là. Elle est capable dans nos délires de me chanter toutes les chansons de sa jeunesse sans trou de mémoire. C’est surtout la mémoire à court terme qui s’emble ne pas bien enregistrer.
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Vous avez un autre exemple ?
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Oui, elle sort un rôti du frigidaire puis, quelques minutes plus tard me demande pourquoi j’ai sorti le rôti.
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D’accord, je comprends. Ce qu’il y a de bien, c’est que cela n’empire pas. Chez les patients jeune, la maladie va dix fois plus vite. Je suis très content des résultats. Nous allons augmenter un peu les doses et je vous adresse un complément par la poste.
SOUCIS DE CARTE BANCAIRE ET D’ACHAT
Si la maladie n’évolue pas, Alain est quand même confronté à quelques soucis. Alice a commandé des couches sur Internet car elle va aussi sur Abkingdom. Elle a trouvé son bonheur dans la rubrique shopping. Ce n’est pas le fait qu’elle ait commandé des couches qui pose problème, c’est le fait qu’elle ait fait huit fois la même commande la même journée. Il découvre ce problème quand ils reçoivent huit fois trois paquets de couches.
S’il ne gronde sa chérie, il lui subtilise quand même la carte de paiement. Alice le prend mal et lui fait une scène monumentale. Elle lui jette à la figure tout ce qu’elle a sous la main. Des couches, son doudou et le cendrier qu’il prend dans la figure.
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Tu te calmes merde, tu m’as fait mal ! Crie Alain furieux.
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Je t’aime plus, t’es méchant ! Hurle Alice en lui envoyant un paquet de couche entier.
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Arrête de faire ta capricieuse ou tu vas te prendre une fessée comme une gamine !
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Non ! Lui répond Alice en suçant son pouce et en continuant de lui envoyer des choses à la figure.
Malgré tout l’amour qu’il lui porte, Alain finit par céder à la colère.
Une pause sérieuse pour des explications en dehors de l’histoire :
La colère, la déception, l’affect au sens large du terme sont les grosses problématiques des personnes qui accompagnent les patient atteints de la maladie d’Alzheimer. C’est en effet très « usant » de vivre cette maladie pour les proches. Il faut accepter beaucoup de choses dures, comme répondre x fois à la même question, ne pas leur en vouloir des oublies, de ......
La deuxième problématique est que les accompagnants ont du mal à discerner les effets de la maladie et les attaques personnelles réelles. La personne peut être odieuse, sembler sincère dans ses propos alors qu’elle ne l’est pas --> sauf à l’instant T. Elle peut vous reprocher avec une certaine méchanceté de l’abandonner, alors que vous faites tout pour elle et le lendemain passer en mode « je t’aime ».
Fin de la pause explications sérieuses
Malgré tout l’amour qu’il lui porte, Alain finit par céder à la colère. Il esquive un paquet de couche, l’attrape par le bras et l’allonge sur ses genoux. Il arrache la couche plus qu’il ne la retire et entreprend de lui donner la fessée qu’il estime qu’elle mérite. Des grosses mains ressemblant à des battoirs claquent fortement les petites fesses blanches qui ne tardent pas à devenir très rouges. Lorsqu’il prend conscience de ce qu’il est en train de faire, il s’arrête aussitôt et s’en veut d’avoir cédé à la colère.
- Oh c’était bonnnnnn, tu ne m’avais jamais donnée la fessée avant ! Lui dit Alice en l’embrassant !
Alors qu’elle plonge sa main dans le pantalon de son chérie avec des envies de sexe, Alain est en perdition psychologique. Il vient de frapper sa femme et elle veut faire l’amour ?????
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Mais qu’est-ce qu’il nous arrive chérie ? Demande Alain les larmes aux yeux.
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Ben rien, j’ai juste envie de toi ! Lui répond Alice en se baissant pour lui faire une fellation.
L’érection tarde à venir malgré l’acharnement de sa femme, il a surtout honte et n’a absolument pas la tête à ça. La verge finit par prendre vie, elle l’attrape par la main pour l’emmener à la chambre ou elle le pousse sur le lit avant de s’empaler sur lui pour faire l’amour.
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Bébé a envie que tu t’occupes de lui. Tu me mets la couche et mon body ? Lui demande Alice apaisée.
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Oui ma puce, mais tu restes couchée un moment sinon je te redonne une fessée, j’ai des choses à ranger.
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D’accord Daddy.
Après l’avoir langée et lui avoir mis son body, Alain la couche et ferme les volets en lui disant que c’est l’heure de la sieste même s’il est 19 heures. Honteusement il quitte la chambre pour aller ranger le lieu de leur dispute. Il leur prépare un petit repas avec des pâtes et du jambon, les seules choses qu’il reste de facile et rapide à faire, il n’a pas eu le temps d’aller faire les courses. Quand il va la chercher, elle l’attire dans ses bras et lui dit des mots d’amour alors qu’il est toujours très perturbé.
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Je crois que j’ai été très vilaine Daddy !
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Je le crois aussi !
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Tu crois que j’aurai droit à une autre fessée ?
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Pas ce soir ma puce, je suis fatigué.
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Alors ce soir, c’est bébé qui va s’occuper de toi.
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Si tu veux ma puce.
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En plus j’ai des surprises pour toi.
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Ah c’est quoi ?
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Ben des surprises ça ne se dit pas !
Le repas terminé, Alice semble en pleine forme contrairement à Alain qui est toujours perturbé par le fait d’avoir battu sa femme. Elle l’attrape par la main après avoir débarrassé la table pour le conduire à la salle de bain où elle entreprend de le déshabiller. Agité par les remords qui ne le quittent pas, il se laisse faire. Alice lui donne la douche, le sèche puis le conduit dans leur chambre.
- Ferme les yeux Daddy et laisse-toi faire.
Lorsqu’il comprend qu’elle désire le mettre en couche, encore une fois il se laisse faire et soulève les reins pour l’aider. C’est quand elle entreprend de lui mettre le body qu’il pense être celui de sa femme qu’il se met à parler en lui indiquant qu’il est trop petit pour lui.
- Chut bébé Daddy, laisse-toi faire.
Lors de ses achats sur Internet, Alice n’a pas commandé que des couches. Elle a aussi acheté de quoi s’occuper de lui. Le body lui va sans problème et, quand elle lui dit d’ouvrir la bouche, il demande s’il peut ouvrir les yeux.
- Non pas encore !
Alice lui place une sucette pour adulte entre les lèvres avant de lui dire « tu peux ouvrir les yeux ».
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Pourquoi tout ça ma chérie ?
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Parce que tu t’occupes toujours de moi, alors j’avais envie de te faire plaisir moi aussi.
Toujours autant perturbé, Alain la prend dans ses bras pour lui faire un gros câlin, lui dire des mots d’amour. Tout en le câlinant, Alice chantonne une berceuse pour l’accompagner dans les bras de Morphée. Lorsqu’il trouve le sommeil, elle se relève pour s’habiller comme lui. Elle met une couche, son body I Love Daddy et le rejoint dans le lit.
Au petit matin, elle se lève avant lui et va préparer le café qu’elle lui apporte dans un biberon.
- C’est pour qui ça ? Demande Alice en lui faisant de petites chatouilles. Allez, on ouvre la bouche pour prendre son bibi !
Le souvenir de sa colère et de la fessée ne quitte toujours pas la tête d’Alain. Il abdique donc et se laisse donner le biberon de café. Tout en lui disant des mots doux, elle caresse son visage en même temps qu’il tète. Le bibi terminé, elle se love contre lui mais il demande à se lever pour aller aux toilettes. En guise de réponse, elle glisse sous la couette, met sa tête au dessus de la couche et lui caresse le ventre.
- Tu peux faire pipi sans te lever, je t’ai mis une grosse couche hier soir et en plus aujourd’hui, c’est moi qui m’occupe de tout. Je veux que tu te reposes, tu fais tant de choses pour moi.
Toujours aussi perturbé, Alain s’abandonne dans la couche pendant qu’Alice lovée contre lui fait des câlins. Ils finissent par se rendormir dans cet univers fait de douceur et de tendresse. Ce n’est que vers onze heures qu’ils émergent de cette grasse matinée originale. Alain désire retirer la couche et aller prendre une douche, Alice le lui refuse.
- On va déjeuner d’abord mon chéri. Après, je m’occuperai encore de toi.
Bon gré mal gré, il abdique encore une fois, il l’aime tant qu’après tout, si déjeuner comme ça lui fait plaisir.... Alors qu’ils dévorent des tartines de beurre, Alice se met à lui parler de ce qu’elle ressent par rapport à sa maladie.
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Je crois que je vais mieux !
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Ah, qu’est-ce qui te fait dire ça ma chérie ? Demande Alain soudainement très réveillé.
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Je me souviens de tout ce qu’il s’est passé hier. Pour ne pas oublier, j’avais tout écrit pour la surprise que je t’ai faite hier soir. Je n’ai pas eu besoin de mon papier. Je me souviens aussi que hier quand tu es arrivé j’ai été odieuse et méchante avec toi, que je t’ai envoyé des choses à la figure. Je me souviens aussi quand tu t’es mis en colère et que tu m’as donné une fessée.
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Tu m’en veux ?
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Non, je la méritais. Mais ce n’est pas de la fessée dont je te parle mais de ma tête. J’ai l’impression que je retrouve ma tête, que je retrouve la mémoire.
Les yeux d’Alain se mettent aussitôt à couler.
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Pose-moi des questions s’il te plait !
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C’est quoi le code de la porte de l’immeuble ?
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3612A
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On est quel jour ?
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Samedi
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Nîmes est dans quel département ?
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Le Gard
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Montpellier ?
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L’Hérault
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Demain nous serons quel jour ?
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Dimanche et tu m’as promis de m’emmener à la mer !
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Mais c’est magnifique ma puce ! Lui dit Alain en éclatant de joie et en ruisselant de larmes de bonheur. Tu es guérie, ça marche !
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J’ai une autre bonne nouvelle.
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C’est quoi ? Demande Alain en reniflant tant ses yeux coulent.
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Je n’ai pas mouillé ma couche cette nuit. Enfin si, mais en étant réveillée et j’ai fait exprès parce que je n’avais pas envie de me lever.
Alain et Alice téléphonent aussitôt à Max qui se rend chez eux le jour même. Ils discutent longtemps, il leur pose beaucoup de questions. C’est Alice qui lui parle de la fessée, Alain trop honteux n’en aurait pas parlé.
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L’effet des endorphines auraient joué sur celui de mes molécules ? Se demande Max à haute voix ?
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C’est quoi des endorphines ?
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Une endorphine est un neuropeptide opioïde endogène, c'est-à-dire un peptide agissant comme un neurotransmetteur, produit par le corps, agissant sur les récepteurs opiacés, sans toutefois être chimiquement apparenté aux composés de l'opium. Les endorphines sont sécrétées par le complexe hypotalamo-hypophysaire chez les vertébrés lors d'activité physique intense, excitation, douleur et orgasme. On les retrouve entre autres dans le cerveau et la moelle épinière ainsi que dans le système digestif. Cela ne peut pas être utilisé comme thérapie pour la maladie d’Alzheimer mais a peut-être eu un effet sur mes molécules. On va attendre encore un peu pour voir ce que donne mon nouveau traitement. Pour l’instant, ne l’arrêtez pas, diminuez un peu les doses en n’en prenant que deux fois par jour au lieu de trois.
EPILOGUE DE FICTION
Alice a retrouvé quasiment toute sa mémoire en un mois. Elle n’a presque plus de blanc. Ils ont décidé de ne pas jeter ou donner les couches achetées trop grande quantité. Ils s’en servent régulièrement pour le plaisir, l’incontinence leur a fait découvrir le monde ABDL, un monde qui leur plait beaucoup de par cette douceur qui les a tant conforté quand elle était malade.
EPILOGUE REEL
Cette histoire est HELAS une fiction, il n’existe pas à ce jour un médicament pouvant soigner la maladie d’Alzheimer. Au mieux, on peut la freiner, pas la soigner. Le gouvernement sous Emmanuel Macron envisage de ne plus rembourser ces médicaments, il préfère investir sur des choses bien plus lucratives que la maladie d’Alzheimer.
Ce que j’indique en dehors de mes délires d’auteur, à propos de la maladie et des problématiques des accompagnants, est bien réel.
Ce sujet me tient particulièrement à coeur pour des raisons strictement personnelles. Ecrire sur ce thème m’a permis d’évacuer un peu de peine.
Ne m’en voulez pas d’avoir écrit sur cette thématique grave, certains boivent, d’autres se choutent avec des médicaments, moi j’écris et j’ai inventé une histoire pour rêver un peu.
TSM
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